Une maison de poupée à taille humaine, des couleurs vives, des objets familiers, le tout en équilibre telle une balançoire à bascule. C’est dans cet univers onirique issu de l’imaginaire d’un enfant que Livia nous invite. Comment trouver l’équilibre ? Sur scène
avec son père, c’est un jeu du chat et de la souris qui se met en place. De la folie de l’enfance à l’autorité parentale, comment trouver le lien émotionnel nécessaire à la communication entre un père et sa fille ? Une ombre plane…s’efface, puis revient. Un troisième personnage fantasque et insaisissable, soutiendra l’action en créant une atmosphère musicale et poétique.