Dans un ballet polyphonique et poétique, chansons, sons et chants entrent en scène. Zamballarana ne cesse de se nourrir, d’imaginer, pour mieux renaître et faire jaillir son souffle euphorisant ; comme le culombu ou cornu marinu qui peut sortir des eaux
pour s’inviter à cette polyphonie généreuse aux sons enivrants, aux rythmes métissés, aux envolées poétiques inspirées des vents et des œuvres de la Méditerranée.